A la découverte de Mont Royal

La renommée de Montréal n’est plus à démontrer. Cette ville canadienne, connue dans le monde entier pour sa richesse culturelle, la beauté de ses rues et le bon vivre qui y règne. Ses différents quartiers représentent la pluralité et la mixité de cette ville. Cette métropole se confond dans la nature luxuriante qui l’entoure. Ce sont tous ces éléments qui font de Montréal l’une des destinations les plus plébiscitées au monde mais également la fierté des Canadiens qui y vivent.

Découvrez la ville de Montréal ou Mont Royal

Montréal est l’une des villes les plus connues du Canada, l’une des plus grandes et aussi l’une des plus appréciées. Que ce soit pour les habitants ou pour les touristes, Montréal représente un émerveillement de tous les jours. A chaque coin de rue, dans chaque espace vert, vous pourrez vibrer au rythme de cette ville de caractère.

Au fur et à mesure des décennies, Montréal a évolué, s’est agrandit et développé. Tout au long de son changement, elle a su garder son âme et ses attraits. Chacun peut trouver son bonheur dans la ville de Montréal ou Mont-royal, quelque soit ses centres d’intérêt, ses envies et ses inspirations. Si vous ne connaissez pas encore cette ville, ou que vous souhaitez la découvrir de nouveau, laissez vous emporter et suivez le guide.

Un grand bol d’air frais et de nature

Si vous êtes un amoureux de la nature, des espaces verts et de la douceur qu’une ville peut proposer, alors Montréal est une destination faite pour vous. L’une des plus grandes fiertés des montréalais est le plateau Mont Royal. Cette espace de liberté à perte de vue est l’un des endroits préférés des habitants de Montréal pour se ressourcer et passer de bons moments. Envie d’une activité sportive en plein air? Vous pourrez faire votre jogging ou une balade à vélo au sein de cet écrin de verdure. Vous voulez un moment de calme ? Une séance de yoga improvisée, un livre à l’ombre d’un arbre, … C’est à vous de décider. Tout est possible ! Tout dans cet espace à ciel ouvert a été pensé pour le bien être des touristes et locaux qui viendront passer un moment dans le cœur vert de la ville de Montréal. Alors il ne vous reste plus qu’à vous prendre au jeu et à arpenter les chemins du parc
du Mont Royal.

A la découverte d’une grande ville canadienne

La deuxième plus grande ville du Canada offre de très belles activités, des bâtiments de styles différents, des quartiers tous plus surprenants les uns que les autres, … Tous ces éléments participent à la richesse culturelle de Montréal.

Baladez vous sur les rives de la rivière pour rejoindre le Vieux Port de Montréal, zone historique de la ville. Depuis plusieurs siècles, le Vieux Port est l’un des endroits phares de la ville. Il a permis le développement économique et l’agrandissement de cette ville. Les touristes arpentent les rives du vieux Port tout au long de l’année, pour profiter de ce cadre si particulier.

Si vous êtes amateur d’architecture, vous serez époustouflé par la Basilique Notre Dame. Construite initialement pour permettre aux paroissiens de l’Église située rue Notre Dame de se rendre plus nombreux aux offices, la Basilique représente aujourd’hui un trésor pour la ville. Son créateur était irlandais et a offert ce bijou aux canadiens de Montréal. Depuis environ deux siècles maintenant, cet édifice trône dans la ville, pour le plus grand bonheur de tous. Bien entendu, la gastronomie est aussi mise à l’honneur dans cette grande ville nord américaine. Les
nombreux restaurants mixent les différentes influences mondiales pour proposer des plats succulents, pour tous les goûts et tous les budgets.

L’addition de tous les atouts de la ville de Montréal en font une destination pas comme les autres et garantissent un séjour inoubliable.

Le concept de l’appropriation culturelle

De nombreux débats tournant autour de ce concept universitaire devenu populaire sur les réseaux sociaux se sont répétés. On le retrouve dans le cinéma, la musique même dans la mode.

Lors de la sortie de leur 23e album au début du mois de décembre intitulé Blue & Lonesome, un album composé de vieilleries blues, les Rolling Stones étaient confrontés à une accusation méconnue pendant leur carrière, mais limitée à tout artifice mondialisé « l’appropriation culturelle » un vrai concept fustigé au cours de l’année 2016.

Il y a 50 ans où Muddy Watters avait traité de voleurs les anglais qui avaient rétabli le mal-être noir en bande son épicurien pour baby-boomeurs blancs. Mais cette colère manifestée par Waters fut méjugée.

Mais c’est au tour de Keith Richards de donner des explications « je considère que le blues ne comporte aucune couleur», réagit il à Rolling Stone, en novembre. Et de se retrouver dans un bourbier en parlant des «esclaves blancs» et sa conception d’un rockeur aussi «noir que le putain d’as de pique»….

Au festival de littérature de Brisbane qui est le plus important événement organisé en septembre, Lionel Shriver, écrivaine américaine vêtue d’un sombrero impressionnant déclare « Je crois que le concept d’appropriation culturelle est une tendance momentanée ».

Celle-ci déclarait qu’elle avait le droit d’écrire sur tout et n’importe quelle culture et d’en donner son point de vue, même si les cela peut choquer certaines personnes sensibles. Un message qui avait poussé plusieurs militants de la lutte contre le racisme à quitter la salle même les tribunes..

Le sombrero

L’auteure avait porté le sombrero pour soutenir deux étudiants de Bowdoin College dans le Maine. Ces derniers avaient été, en début d’année parce qu’ils avaient organisé une «Tequila Party» un événement où les participants avaient porté des chapeaux mexicains. Une attitude qui avait été critiquée par les associations étudiantes et les autorités éducatives considérant que cette «appropriation culturelle» la reléguait à un carnaval raciste.

Alors qu’il fut longtemps réservé aux colloques universitaires, ce concept ajouté à celui de micro agression est maintenant un sujet qui choque sur les campus américains depuis plusieurs années.

Un dessin d’Hergé mis en vente par la maison de Christie’s

Tintin et le Thermo-Zéro, un des dessins de Hergé sera mis en vente, à partir du 19, novembre à Paris par Christie’s alors qu’il n’a pas été achevé.

D’autres œuvres pourraient également être mises en vente. Il s’agit d’un ouvrage exceptionnel provenant d’On a marché sur la lune que Art Artcurial va proposer la même journée.

En fait, Christie’s va vendre à partir du 19 novembre plusieurs œuvres originales d’Hergé parmi lesquelles figurent un dessin provenant de Tintin et le Thermo-Zéro, un album qui n’a jamais été terminé.

La vente en question sera faite en même temps que d’autres œuvres d’Hergé chez Artcurial avec comme œuvres principales « On a marché sur la lune » dont le prix est estimé entre 700.000 et 900.000 euros.

En fait, cette œuvre est l’aperçu d’un album devenu célèbre chez les fans de tintin. Et, personne ne connaît son histoire. La maison Hergé avait entamé son élaboration vers les années 50 après avoir sorti, Tintin au Tibet. Sauf que ce projet n’avait pas été achevé, car il présente des similitudes avec l’Affaire Tournesol, qui est également tiré des films d’espionnage datant des années 60.

Cet ouvrage raconte l’histoire d’une bombe unique recherchée par les personnages. Pour le développeur du scénario Greg, cet ouvrage explique cette bombe est une fusion de substances chimiques qui sort de la chaleur, y compris dans des endroits où il n’y a pas d’oxygène».

Effervescence ingénieuse

Mais l’histoire n’est pas allée plus loin, car Hergé ne l’a pas achevée. Il s’agit donc de l’un des dessins que la maison de vente Christie’s mettra en vente dont la valeur est comprise entre 200 000 et 250.000 euros. En clair, cette planche allait être la quatrième de l’album, comme il yen 8 au total, les six autres ayant été exposées au Musée Hergé à Louvain-la-Neuve, en Belgique.

Cette planche dessinée au crayon par Hergé montre un Tintin, venir secourir en compagnie de son fidèle chien Milou et son ami le Capitaine Haddock des personnes qui ont fait un accident de la route. Raison pour laquelle, on peut y trouver le côté créatif d’Hergé qui recherche la vraie ligne.

D’autre part, la maison de vente Christie’s vend aussi un dessin original fait à l’encre de Chine et gouache blanche tiré de l’album « On a marché sur la lune », où on voit la fusée lunaire revenir sur terre. Une œuvre d’une valeur comprise entre 350.000 et 400.000 euros.

La planète la plus proche de la terre serait composée d’eau en partie

Plusieurs scientifiques ont essayé de réfléchir sur notre Proxima b, dont la découverte a été faite pendant cette période estivale avec des informations très fragmentaires.

Très peu d’informations fusent sur cette planète qui a été découverte pendant cette période estivale. Celle-ci se trouve à 4,2 années-lumière de la terre, en orbite autour de l’étoile la plus attenante du Soleil, Proxima du Centaure. Sa taille est plus petite que celle de la terre, avec une lumière six cent moins forte que notre planète.

Par contre, Proxima b orbite est plus proche d’elle par rapport à la terre et le soleil. Tout simplement parce qu’il lui faut 11 jours pour faire le tour sur elle-même.

Sa température serait située entre – 30 et – 50°C. Par exemple, s’il n’existait pas d’atmosphère, on aurait une température de -15°C en surface. De façon approximative, la masse de cette planète est proche de celle de la terre (x1, 3).

Grâce à ses informations très peu nombreuses, les scientifiques du laboratoire d’astrophysique de Marseille (LAM) et du département d’astronomie de l’université de Cornell, ont publié leur étude dans The Astrophyscial Journal Letters. «Nous sommes partis du fait que c’était un univers rempli de roches et pas composé de gaz», détaille Bastien Brugger, initiateur de cette étude. «Ce qui est impossible, mais il ne sera pas possible de trouver une vie sous une forme identique à celle que l’on connaît.»

Planète océan ou planète métallique?

Pour l’instant, il n’est pas possible de connaitre la composition de cette planète. Pour ce faire, « nous sommes partis de l’existant : le système solaire » ajoute le jeune scientifique.

On retrouve des deux côtés, Mercure, la planète qui est plus rapprochée du soleil et les lunes froides de Jupiter. Dans le cas de Mercure, il s’agit d’une planète composée d’un noyau en métal recouverte partiellement de roches. La seconde planète comporte des planètes océans avec en partie de l’eau liquide et glacée qui cache une forme de roche composée de fer en partie.

Quand on ajoute Proxima b le résultat donne une planète assez petite par rapport à la Terre avec un center métallique de 4500 km de rayon et une mince couche de roches silicatées de 1500 km.

La couche d’ozone est en train de se réhabilité

Plusieurs observateurs avaient émis des doutes sur la vraie productivité du Protocole de Montréal qui consistait à réparer la couche d’ozone d’ici 2050.

Mais, plusieurs scientifiques indiquent que le trou d’ozone qui apparaît de façon épisodique toutes les années sur l’Antarctique disparaît progressivement au point de se refermer.

On se rappelle en 1985 quand certains chercheurs s’étaient rendu compte de l’apparition d’un trou dans la couche d’ozone sur l’Antarctique. Mais d’autres chercheurs n’en étaient pas surpris, car en 1974, des spécialistes en chimie (Frank Rowland et Mario Molina) avaient émis des inquiétudes vu qu’ils avaient réalisé que l’instrument chimique de destruction de l’ozone par la projection d’oxyde nitrique était semblable aux émissions de chlorofluorocarbones, ceux qu’on appelle actuellement CFC, qui provoquaient la fission des molécules d’O3 à travers des atomes de chlore. Les recherches menées par les des trois spécialistes ont été reconnues en 1976 par l’Académie nationale des sciences américaine entraînant l’interdiction d’utiliser des CFC comme gaz propulseur dans les aérosols en 1978. D’ailleurs certains pays tels que la Norvège, les Etats-Unis et le Canada ont interdit son utilisation.

La signature du protocole de Montréal

Cependant, la gravité du trou de la couche d’ozone montrait que l’interdiction des CFC était insuffisante et il fallait aussi interdire les hydrochlorofluorocarbones (HfCFC), comme ceux qui portent le nom commercial Fréons vendus par l’entreprise DuPont de Nemours.

Raison pour laquelle, la majorité des pays qui produisent et utilisent le CFC ont signé une charte en 1987 le protocole de Montréal et ont automatiquement lancé sur le marché des produits de substitution.

Des physiciens indiquent avoir découvert les ondes gravitationnelles d’Einstein

Plusieurs chercheurs ont indiqué ce jeudi avoir découvert des d’ondes gravitationnelles, une révolution importante en physique qui permet d’accéder à une nouvelle fois à l’univers et aux mystères.

Cette trouvaille, présentée pendant une conférence de presse à Washington, certifie une prédiction phare d’Albert Einstein dans sa théorie de la relativité générale exposée il y a un siècle.

50 ans de travail

« Nous avons repéré des ondes gravitationnelles, nous avons réussi », a lancé sous les ovations David Reitze, un physicien du Caltech (California Institute of Technology), directeur de l’observatoire Ligo (Laser Interferometer Gravitational-wave Observatory) qui a donné la possibilité de faire cette observation le 14 septembre passé au bout de 50 ans de travail.

Ondes gravitationnelles « Cette découverte est le départ d’une nouvelle époque, celle de l’astronomie des ondes gravitationnelles transformée désormais en une réalité », a expliqué Gabriela Gonzalez, porte-parole de l’équipe Ligo, professeur d’astrophysique à la Louisiana State University.

Une ère revolutionnaire

« Grâce à cette découverte, le monde entre dans une étonnante collecte pour gérer les endroits les plus excessifs de l’univers, où des objets et des événements sont créés par la déviation de l’espace-temps », a ajouté Kip Thorne, professeur de physique théorique au Caltech. « Le choc de deux trous noirs et les ondes gravitationnelles sont nos premiers exemples légendaires de cette nouvelle aventure », a-t-il déclaré.

France Cordova, directrice de la National Science Foundation, qui finance le laboratoire Ligo, a indiqué que cette observation « est le point focal de la naissance d’un domaine de l’astrophysique totalement révolutionnaire, semblable au moment où Galilée a placé pour la première fois son télescope vers le ciel » au XVIIe siècle.

Présentation d’une greffe totale du visage

Une équipe du centre de recherche médicale NYU Langone de New York a été à l’origine de la réalisation d’une greffe totale du visage, du cuir chevelu, des oreilles et des conduits auditifs sur un ex pompier volontaire, une opération que ses créateurs présentent comme la plus complète à ce jour.

Ce n’est pas pour la première fois qu’une greffe totale du visage soit réalisée, mais le professeur Eduardo Rodriguez, qui a mené l’opération mi-août, a rassuré que de nombreux éléments constituaient une évolution sur le plan médical.

C’est surtout la première fois que le résultat ne produit aucune cicatrice ou accident sur le visage même (les cicatrices sont sur le cou et sur le crâne), a-t-il indiqué pendant une conférence de presse.
Ce résultat a été obtenu à la suite d’un travail préparatoire dont le but était de supprimer une masse importante de tissus du greffé avant de procéder à l’implantation du nouveau visage, d’après Eduardo Rodriguez.
L’équipe a aussi réalisé une transplantation des fragments osseux et posé des plaques et des vis pour donner à l’ensemble une apparence symétrique et régulière. La greffe des oreilles et des canaux auditifs a aussi été dévoilée comme une première. Le chirurgien a indiqué que des avancées avaient été réalisées à cette occasion pour une meilleure gestion de la réaction immunitaire de l’organisme.