Science & Culture

La couche d’ozone est en train de se réhabilité

Plusieurs observateurs avaient émis des doutes sur la vraie productivité du Protocole de Montréal qui consistait à réparer la couche d’ozone d’ici 2050.

Mais, plusieurs scientifiques indiquent que le trou d’ozone qui apparaît de façon épisodique toutes les années sur l’Antarctique disparaît progressivement au point de se refermer.

On se rappelle en 1985 quand certains chercheurs s’étaient rendu compte de l’apparition d’un trou dans la couche d’ozone sur l’Antarctique. Mais d’autres chercheurs n’en étaient pas surpris, car en 1974, des spécialistes en chimie (Frank Rowland et Mario Molina) avaient émis des inquiétudes vu qu’ils avaient réalisé que l’instrument chimique de destruction de l’ozone par la projection d’oxyde nitrique était semblable aux émissions de chlorofluorocarbones, ceux qu’on appelle actuellement CFC, qui provoquaient la fission des molécules d’O3 à travers des atomes de chlore. Les recherches menées par les des trois spécialistes ont été reconnues en 1976 par l’Académie nationale des sciences américaine entraînant l’interdiction d’utiliser des CFC comme gaz propulseur dans les aérosols en 1978. D’ailleurs certains pays tels que la Norvège, les Etats-Unis et le Canada ont interdit son utilisation.

La signature du protocole de Montréal

Cependant, la gravité du trou de la couche d’ozone montrait que l’interdiction des CFC était insuffisante et il fallait aussi interdire les hydrochlorofluorocarbones (HfCFC), comme ceux qui portent le nom commercial Fréons vendus par l’entreprise DuPont de Nemours.

Raison pour laquelle, la majorité des pays qui produisent et utilisent le CFC ont signé une charte en 1987 le protocole de Montréal et ont automatiquement lancé sur le marché des produits de substitution.

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Christophe
Christophe. Je vis à Pau. J'ai rejoins l'équipe à la demande d'Aude, fin 2015. Amoureux de ma région :)