Aude

Aude

Aude. Je vis à Foix. Créatrice de ce site internet pour vous tenir informés sur l'actualité de notre magnifique région !

Pyrénées-Atlantiques : Jean Lassalle quitte le Modem

Le député se préparer à se présenter sa candidature l’élection présidentielle de 2017.

« Je n’engage aucune initiative non partisane. Aujourd’hui, je dois le dire clairement, je m’écarte du Modem », a lancé Jean Lassalle au journal Marianne, qui diffuse un long communiqué sur le député des Pyrénées-Atlantiques où, dans une interview, il affirme qu’il veut se présenter à la présidentielle 2017.

Une initiative contraire à celle de François Bayrou

Cette décision l’éloigne un peu plus de François Bayrou, son « aîné » en politique, qui a décidé de venir soutenir, Alain Juppé lors de l’élection des primaires à droite. N’empêche qu’il a la possibilité de décidé de la suite, si jamais le maire de Bordeaux n’était pas choisi candidat après le processus.

Mais, cela n’empêche pas Jean Lassalle de poursuivre sa route en solo comme il l’avait commencé depuis deux ans dans toutes la France. C’est après avoir fait cette visite de la France, qu’il a indiqué dans le journal Sud-Ouest qu’il envisage une autre démarche.

Mais, le fait pour lui de s’écarter du Modem vient secouer le parti dirigé par François Bayrou, où Jean Lassalle occupait le poste de vice-président, et fait partie des deux uniques députés que le parti possède. Mais il pense que sa relation avec François Bayrou va en pâtir. « Rien ne pourra jamais défaire notre relation unique. Il n’est pas question dans ma démarche d’écarter François. Il me rejoindra quand il aura fini de soutenir Alain Juppé… » conclut encore Jean Lassalle.

La présidente Carole Delga critique le maire de Montpellier Philippe Saurel de faire obstruction

Carole Delga, membre du parti socialiste, et Présidente de la région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées a indiqué que des travaux notoires duraient à Montpellier à cause de l’absence de signature du Contrat de Plan État-Région par le président de la Métropole et maire de Montpellier Philippe Saurel (DVG).

Elle déclare que le Contrat de Plan État-Région (CPER) « est signé urbi et orbi mais pas à Montpellier ». Quant à Philippe Saurel il juge que de nombreuses demandes de la ville n’ont pas été respectées par la région.

En ce qui concerne les améliorations des logements étudiants ou des travaux visant à prévenir les inondations, « à Montpellier, nous enregistrons du retard et c’est regrettable », a lancé Carole Delga.

Pour justifier ou encore expliquer ce qui justifiait ce retard avec Montpellier, la Président a indiqué qu’il fallait poser des questions à Philippe Saurel ». « Mon vœux est de travailler pour Montpellier, je ne suis pas intéressé par les histoires du passé « , a-t-elle poursuivi. Et de rappeler que Philippe Saurel avait fait état d’une liste rivale à celle qu’elle avait présentée au cours des élections régionales.

Actuellement, la nouvelle instante dirigeante de la région et Philippe Saurel entretiennent des rapports conflictuels. A l’entame de la semaine, un nouveau niveau était franchi car le maire de Montpellier a décidé sans consulter la région de rompre un accord datant de plusieurs années avec la présidence de Montpellier Events, qui gère quatre grands fourniments culturels et événementiels de la capitale.

La municipalité a réduit impôts pour cette année

Plusieurs heures précédant, l’ouverture de la séance du conseil municipal, les représentants comme Josette Bourdeu en premier, ont fait état d’une réduction des impôts de la localité pour 2016.

Les habitants de Lourdes ne connaîtront pas une hausse d’impôt cette année, différemment de l’intercommunalité. Josette Bourbeu a préféré annoncé la nouvelle avant que le conseil municipal ne se réunisse. Un conseil au cours duquel, sera débattue la ligne budgétaire. Ce qui lui permet de tomber dans un débat qui risque d’être houleux. Cette revue des impôts à la baisse provient «d’une bonne gestion des dépenses et de la baisse de l’épargne négative de la ville», indique la mairesse de la ville. A travers cette action, elle répond aux critiques de certains membres de l’opposition, comme Jean-Pierre Artiganave.

Épargne négative

Ainsi, la municipalité est satisfaite d’avoir réduit «l’épargne à 1.152 000 euros, alors qu’elle était de 2 millions d’euros avant». «C’est une partie du chemin traversé», indique Josette Bourdeu, témoignant que «des efforts seront menés d’avantage dans ce sens». De son côté, Gérald Capel promet donc de réduire de réduire cette épargne à zéro «dans un an et demi».

Par contre, Josette Bourdeu et Gérald Capel, contredisent les affirmations négatives et infondées de l’opposition. S’appuyant sur les chiffres, Gérald Capel explique que la municipalité a revu à la baisse les charges à caractère général, tels que les voyages ou les tournées, ont été réduits de 1 million 176 mille euros depuis 2013 ».

Les frais du personnel diminués

En 2015 aussi, les frais de personnel ont baissé de 0,73%, une baisse jamais connue depuis 2008.

Le nouveau chef de la police municipale de Fleury a été installé dans ses nouvelles onctions

Après avoir servi à la municipalité pendant 38 années, Michel Lapagliat prend sa retraite. Ce dernier est arrivé dans le service public en début 1978 comme aide ouvrier professionnel et le 1er octobre 1989, il est agent de Police Municipale et accède au poste de chef de police en 2006.

Il fut décoré par Monsieur Guy Sié qui lui a décerné la médaille d’or en janvier 2015 pour primer ses 35 ans de carrière. Maintenant qu’il va à la retraite, il s’adonnera sûrement à ce qui est sa passion favorite à savoir la chasse et passera sûrement du temps avec ses amis dans le village et ceux qu’il a connu pendant toutes les années où il a travaillé.

Franck Regnier choisi pour le remplacer

Il cède donc sa place à Franck Regnier. Agé de 52 ans Franck Regnier a longtemps travaillé plusieurs à Alénuya dans les Pyrénées Orientales, en tant que directeur des services techniques ensuite comme chef de la police municipale, un département qu’il a mis sur pied après une réclamation de la municipalité. Et pour continuer sa mission, il a opté pour la ville de Fleury pour continuer à servir le service public.

Connaissant parfaitement le terrain, ce dernier a autrefois travaillé pour unir les moyens de plusieurs villages afin de protéger tout le monde.

Le projet de l’Épicerie solidaire évolue

Plusieurs habitants du quartier du Cèdre étaient venus assister à la réunion publique portant sur le projet d’épicerie solidaire. Lors de cette première réunion, plusieurs questions avaient été posées et cela a permis de remarquer que ce à quoi les habitants du quartier était différent.

En fait, ce sont les habitants et les riverains qui vont gérer s’ils le souhaitent cette épicerie qui devrait bientôt voir le jour. Et pour la gérer, il faudra créer une association tout en tenant compte des règles, des droits, des devoirs, sans oublier des besoins.

Plusieurs questions

Et une seconde réunion a eu lieu à la mairie, au cours de laquelle devait être discuté ce point. Les membres de l’association Folies qui soutiennent ce projet ont tenu à expliquer comment fonctionne une association, comment se déroule et comment gérer les activités d’une association. Les questions ont été posées via un quiz au cours de cette rencontre. Mais ce n’était pas tout, car de nombreuses questions ont été posées sans oublier les propositions qui venaient de partout. Parmi celles-ci on notait celle portant sur le nombre de personnes indispensables pour la création d’une association, sur la déclaration de l’association à la préfecture. Il s’est posé la question de savoir si les mineurs avaient aussi le droit d’intégrer l’association. Toutes ces questions devraient permettre aux prochains gérants de l’épicerie solidaire d’avoir une connaissance de ce qui les attend.

Une troisième réunion en vue

Tout cela montre que la création de cette association est basée sur du solide. Et quand la question a été posée dans la salle de savoir si les habitants étaient emballés par le projet, plusieurs d’entre eux ont affiché leur intéressement à ce dernier. Pour ce fait, une troisième réunion est prévue en vue d’écrire les statuts.

Mise en place d’un Plan Marshall pour les entreprises

Dans la concertation portant sur le lancement du Plan Marshall de 800 millions d’euros en 2016 comme l’avait indiqué Carole Delga quand elle fut élue son le 4 janvier passé, la présidente de Région a discuté cette semaine avec les représentants régionaux des Chambres de commerce et d’industrie et leurs semblables des Chambres des Métiers et de l’artisanat.

Carole Delga était venue avec quatre vice-présidentes faisant partie de ce Plan Marshall régional à savoir Béatrice Négrier, Sylvia Pinel, Marie Piqué, Agnès Langevine.

Au cours de cette discussion qui s’est révélée profitable il a été donné à la Région de certifier ses placements sur tout le territoire qui viendront ainsi, soutenir, à partir de ce printemps 2016, l’activité économique des petites et moyennes entreprises de la régions des Bâtiments et Travaux publics et par la même occasion encourager l’emploi dans la région.

Au cours de cette réunion, il était question de discuter sur l’allotissement des marchés publics locaux, l’installation de groupements d’entreprises systématiquement, mieux communiquer avec les entreprises, former des chefs d’entreprises pour une meilleure appréhension du code des marchés publics.

Encourager l’innovation et la formation

Par la même occasion, la présidente de Région a misé sur la mise en place de d’une convention unique avec les Chambres pour rendre plus visible les investissements régionaux, la pré-information sur les marchés publics votés par la Région, et création d’une plate forme conceptualisée pour accéder à ces marchés. D’ailleurs, il y aura en plus, un Guide de la commande publique régionale dont l’élaboration se fera de façon collective.

Carole Delga, explique que cette convention doit présager la mise en place à partir de cette année d’un Contrat de filière Bâtiment et Travaux Publics donnant la possibilité de soutenir ce secteur capital de l’économie. Grâce à ce contrat de filière il sera donc possible la Région d’appuyer l’innovation et la formation.

Ski : les touristes affluent dans les Pyrénées

À Peyragudes, dans les Hautes-Pyrénées, on enregistre déjà l’arrivée des premiers vacanciers de la zone C.
Les premiers vacanciers de la zone C rejoignent les stations de ski des Pyrénées. Routes noires, Montagnes blanches, ciel bleu, c’est ce mélange qui enjolivera les journées de ski. Les vacanciers de la zone C jouissent de ces conditions propices. La neige et le beau temps les encouragent à se précipiter sur les pistes quand ils arrivent afin de profiter totalement de leur séjour. Le médecin de la station indique d’ailleurs, qu’il ne faut pas se précipiter. « Plusieurs personnes ne réalisent qu’une seule semaine de sport par an, et ce, au cours de la semaine de ski, et c’est tout. Alors, effectuer huit heures successives de ski par jour, ce n’est pas possible », indique Dr Olivier Decoster.

Bordeaux et Toulouse

Avec le dernier découpage des vacances au soleil, les stations de ski n’arrivent pas à faire des comparatifs suite aux saisons passées. Ce qui est sûr, c’est qu’avec les congés scolaires pour les académies de Bordeaux et de Toulouse, la clientèle proche va arriver dans les stations des Pyrénées. Quant aux stations qui connaissent une baisse de fréquentation à cause du faible enneigement du début de saison s’attendent à rattraper le retard d’affluence.

Des physiciens indiquent avoir découvert les ondes gravitationnelles d’Einstein

Plusieurs chercheurs ont indiqué ce jeudi avoir découvert des d’ondes gravitationnelles, une révolution importante en physique qui permet d’accéder à une nouvelle fois à l’univers et aux mystères.

Cette trouvaille, présentée pendant une conférence de presse à Washington, certifie une prédiction phare d’Albert Einstein dans sa théorie de la relativité générale exposée il y a un siècle.

50 ans de travail

« Nous avons repéré des ondes gravitationnelles, nous avons réussi », a lancé sous les ovations David Reitze, un physicien du Caltech (California Institute of Technology), directeur de l’observatoire Ligo (Laser Interferometer Gravitational-wave Observatory) qui a donné la possibilité de faire cette observation le 14 septembre passé au bout de 50 ans de travail.

Ondes gravitationnelles « Cette découverte est le départ d’une nouvelle époque, celle de l’astronomie des ondes gravitationnelles transformée désormais en une réalité », a expliqué Gabriela Gonzalez, porte-parole de l’équipe Ligo, professeur d’astrophysique à la Louisiana State University.

Une ère revolutionnaire

« Grâce à cette découverte, le monde entre dans une étonnante collecte pour gérer les endroits les plus excessifs de l’univers, où des objets et des événements sont créés par la déviation de l’espace-temps », a ajouté Kip Thorne, professeur de physique théorique au Caltech. « Le choc de deux trous noirs et les ondes gravitationnelles sont nos premiers exemples légendaires de cette nouvelle aventure », a-t-il déclaré.

France Cordova, directrice de la National Science Foundation, qui finance le laboratoire Ligo, a indiqué que cette observation « est le point focal de la naissance d’un domaine de l’astrophysique totalement révolutionnaire, semblable au moment où Galilée a placé pour la première fois son télescope vers le ciel » au XVIIe siècle.

La justice mène une enquête sur des marchés publics à Montauban

Nouveau rebondissement judiciaire autour de Brigitte Barèges et de la mairie de Montauban. Après une mise en examen dans une affaire d’un emploi fictif supposé, la justice enquête sur deux marchés publics de la communication. Cette enquête préalable est relative au dépôt d’une plainte. Des écoutes ont été effectuées. D’autres pourraient avoir lieu cette semaine.

Dans un premier article, France 3 Midi-Pyrénées a prouvé l’existence d’une nouvelle procédure judiciaire contre la mairie de Montauban. Après une enquête, il est possible d’expliquer les contours du dossier.

Une plainte a été déposée au parquet de Montauban.

La procureure de la République a perdu le dossier. La brigade financière de la gendarmerie de Toulouse a premièrement été chargée des enquêtes, mais c’est dorénavant le CRPJ de Toulouse qui coiffe les enquêtes sur les dossiers financiers de Montauban.

Plusieurs incertitudes de délit de favoritisme et de prise illicite d’intérêt concernent deux marchés publics effectués par la mairie de Montauban et le Grand Montauban, la Communauté de Ville dirigée par Brigitte Barèges.

Une plainte visant l’attribution d’un marché public du Grand Montauban.

La première phase de la plainte, déposée par un rival éliminé, repose sur un marché public datant du 7 juin 2011. Son montant évalué était de 150 000 euros et son montant a été augmenté à 184 152, 62 euros. Ce marché est qualifié, dans le répertoire administratif du Grand Montauban, « Stratégie économique de la communauté d’agglomération du Grand Montauban ».

Ce marché a été accordé puis annulé. Relancé via un second appel d’offre, il est au final gagné par une agence de communication de Toulouse, Hima 360.

Ce marché public du Grand Montauban pourrait être souillé par une prise prohibée d’intérêt et d’un délit de népotisme.

En fait, la directrice de la communication municipale de l’époque, Laurence Got-Villier est par la suite nommée directrice du développement d’Hima 360. Ce dérapage se fait deux mois après l’octroi du marché, en août 2011. En août 2013, Laurence Got-Villier est revenue à la mairie de Montauban. Elle est en ce moment la directrice de cabinet de Brigitte Barèges.

La Caisse des Dépôts entre dans N’Py

Depuis dix ans, cinq domaines skiables des Pyrénées se joignaient dans un syndicat d’économie mixte. Le Tourmalet, Luz-Ardiden, Peyragudes, Gourette et la Pierre Saint-Martin crééent N’Py dans un petit endroit avec un salarié.

Dix ans après, N’Py réunit sept stations de ski et le Pic du Midi et le petit train de la Rhune, partant de la Haute-Garonne au pays basque, embauchant une trentaine de personnes à l’année, générant 52 millions d’euros de chiffre d’affaires annuels, soit 55% la capacité économique des domaines skiables pyrénéens. « Ce sont 350 millions d’euros de bénéfices économiques pour nos département, et 3 500 équivalent temps pleins dans les stations de ski », indique Michel Pélieu, président de N’Py.

Un market Place pour les touristes

Cette union des forces et des moyens des stations de ski des Pyrénées, depuis dix ans, était un vœu. Désormais c’est chose faite au niveau national aux stations rassemblées, et cette union ne leur fait perdre aucunement leur autonomie.

Aujourd’hui, N’Py a créé une société-fille, N’Py Résa. Tout cela est fait pour expliquer, que l’avenir du tourisme local est la raison de ce nouveau développement. En fait, N’Py Résa est une « market place », une place de marché où les prochains touristes pourront faire des réservations en un seul tour les forfaits de ski, mais également l’hébergement, la location du matériel, les loisirs… Des vacances à la carte, sur un seul site, qui permet aux professionnels de la montagne d’être plus visibles.

L’arrivée de nouveaux partenaires importants

Pour effectuer le développement de ce nouvel outil numérique au centre des habitudes de consommation d’aujourd’hui, N’Py Résa a été renforcé par des partenaires de importants. En vue d’augmenter le capital, la Caisse d’Épargne Midi-Pyrénées, le Crédit Agricole Mutuel Pyrénées Gascogne, le groupe EDF et la Caisse des Dépôts pèseront dans cette union et utiliseront leurs moyens pour faire de N’Py Résa un acteur important de la réservation en ligne, devant des leaders nationaux et internationaux existant déjà sur le web.

Ils comptent tous investir dans une structure moderne, importante pour le développement du tourisme local d’aujourd’hui, et du développement de l’économie du territoire.