Le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS organise une vente aux enchères

Depuis plusieurs jours, une vente enchères est en cours au service département d’incendie et de secours des Pyrénées-Atlantiques. Ceux-ci ont décidé de se séparer des 136 lots de matériel parmi lesquels figurent 94 véhicules.

Plusieurs acheteurs

Avant que la vente ne commence, ils étaient plusieurs à attendre devant les locaux du centre logistique et technique des pompiers, à Artix. Mais il n’y avait pas que les acheteurs à la vente aux enchères car il y avait aussi des personnes qui étaient venues satisfaire leur curiosité. Pour organiser sa vente aux enchères, le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS 64) des Pyrénées atlantique a choisi l’hôtel des ventes de Pau.

Pour ce faire, la vente aux enchères était dirigée par commissaire-priseur, Me Patrice Carrère qui n’a pas caché sa satisfaction de participer à cette vente aux enchères « vous m’avez manqué » a-t-il déclaré au début de la vente. En fait, c’est la 6e fois qu’il réalise cette vente pour ce groupement de sapeurs pompier.

« Si cette vente attire autant de monde, c’est parce que les véhicules mis en vente ont bénéficié d’un entretien irréprochable car chez les sapeurs-pompiers les normes de sécurité sont plus renforcées par rapport aux autres institutions qui possèdent plus de véhicules.

Il ne faut donc pas être surpris de voir les prix décoller, mais le plus impressionnant c’est le comportement du SDIS car il a voulu que tout le monde puisse jouir du même privilège avec des prix bas. »

Mais le plus gros lot de cette opération concerne les 94 véhicules, des fourgons pompe-tonne, des voitures moins lourdes, des grands véhicules…

Originaire de Bayonne, François Faut, qui collectionne les voitures est intéressé par un camion Mercedes Unimog 4×4, doté d’un treuil à l’avant, d’une cuve et groupe motopompe placé à l’arrière. «C’est le véhicule qui m’intéresse l’engin qui m’intéresse. Mais son prix pourrait atteindre la mise de 5500 €.

« Il s’agit des derniers Unimog (5) qui restent aux pompiers » explique Bernard Redregoo, le chef du parc automobile du SDIS 64.

Ces véhicules tous terrains qui servaient autrefois à lutter contre les feux de forêts, sont très appréciés par les collectionneurs et les forestiers.

Rappelons que le SDIS organise cette vente aux enchères pour la sixième fois, sa dernière vente remontant à 2013 « Nos véhicules ont atteint leur limite d’amortissement technique et financier.»

Les préfets des Hautes-Pyrénées, des Pyrénées-Atlantiques, des Landes relèvent leurs arrêtés concernant la consommation de certaines espèces de poissons

Désormais, les espèces de poissons telles que le barbeau, le vairon, la silure, la carpe, l’anguille, le brème pourront être vendus et donc proposé à la consommation. Alors qu’un arrêté produit par les préfets des Hautes-Pyrénées, des Pyrénées-Atlantiques, des Landes interdisait donc la vente de ces espèces depuis 2011. Ces poissons étaient pêchés dans l’Adour aval, le Gave de Pau, les Gaves Réunis.

La préfète des Hautes-Pyrénées, Béatrice Lagarde, explique qu’elle a décidé de relever son arrêté suite à l’accord de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) et suite à la demande technique des directions centrales de l’alimentation, de la santé, de l’aménagement, du logement et de la nature, et de la direction des pêches maritimes et de l’aquaculture ».

Ces institutions ont annoncé que ces aliments ne sont pas dangereux pour la santé humaine. En fait, ces préfets avaient décrété des arrêtés en 2011 après la découverte de traces de polychlorobiphényles dans le gras de poissons.

Ces corps très toxiques qu’on appelle aussi pyralènes, qu’on utilise dans les transformateurs, avaient précédemment fait l’objet d’une interdiction pour certaines utilisations en 1970 et ensuite entièrement prohibées en 1987 à cause de leurs effets épouvantables sur le développement du cerveau du fœtus.

Et si les arrêtés ont été relevés c’est parce que les prélèvements effectués ont montré que les teneurs en PCB inférieures ou égales au seuil supporté.

Recommandations de l’ANSES

Parallèlement à la levée des interdictions, La préfète des Hautes-Pyrénées a énoncé les recommandations de l’ANSES concernant la consommation de poissons. Il est donc recommandé de manger deux portions de poisson par semaine qui ont une teneur en oméga 3, en consommant des différentes espèces et en changeant les différents points d’achats.

Les femmes qui allaitent ou qui sont encore en capacité d’enfanter des enfants, en grossesse doivent consommer les poissons d’eau douce 1 fois chaque 2 mois. C’est également cas pour les enfants de moins de 3 ans, les petites filles et 2 fois par mois les autres catégories de personnes. Comme les anguilles sont considérées comme des bio accumulateurs doivent être consommés de façon rare.

Qui a profané les tombes au cimetière de Monein ?

Plusieurs cimetières ont été profanés depuis ce weekend dans les pyrénéens plus précisément à Monein et dans d’autres communes.

Cinq tombes ont été profanées au cimetière de Monein ce week-end. A Bearn, deux autres tombes ont été dégradées et à Aubertin aussi, des tombes ont été détruites.

Cinq tombes ont été saccagées à Lescar. « Aucun écrit, d’épigraphes, n’ont été laissés, mais il n’y avait que les caveaux qui avaient été ouverts, détaille le maire de l’agglomération, Christian Laine. Il ya certains cercueils qui ont été détruit, d’ailleurs, la police a trouvé un bout de bois près de l’un des cercueils »

Des profanations à Aubertin

Mais les auteurs de ces actes de vandalisme ne se sont pas arrêtés aux villes citées plus haut, puisqu’ils se sont attaqués une semaine après aux cimetières situés près des coteaux du Jurançon. « Les ossements n’ont pas été déplacés par contre, les tombes ont été cassées souligne Florent Bernadas, conseiller municipal d’Aubertin. On a vu plusieurs stèles entrouvertes, des dalles mal placées, des croix mises à l’envers, des vases cassés. »

C’est une habitante qui se rendait au columbarium au cimetière qui a remarqué ces actes. Aussitôt, elle a lancé l’alerte. « Elle s’est aperçue que l’urne de son époux avait été cassée au sol. De nombreuses portes du columbarium ont été détruites. » À part les bris, ce sont plus de dix tombes qui ont été détériorées. « Nous avons encouragé les familles à porter plainte », ajoute le conseiller municipal. L’enquête sera diligentée par les gendarmes de Gan.

« Ces actes doivent être l’œuvre d’un groupe bien organisé »

La semaine dernière, pendant le week-end, c’est le cimetière de la commune de Monein qui a été la cible des casseurs. La bas la scène est encore plus grave, car il ya eu des ossements qui étaient hors des cercueils.

Vu le nombre d’actes de profanations qui ne fait que s’élever, le parquet a considéré qu’il s’agit d’un seul et unique groupe qui mène ses actes. Pour ce faire, elle a réunit ces trois actes dans une seule enquête. L’affaire est entre les mains de la brigade de recherche de la gendarmerie d’Oloron.

Les salles de cinéma en Occitanie sont les plus fréquentées en France

Le CNC a indiqué dans un rapport publié récemment que les salles de cinéma ont été fréquentées par plus de 17 millions de spectateurs en 2015 dans la région. A Toulouse et à Montpellier, ils furent seulement 9,5 millions à avoir fréquenté les salles de cinéma. Ce qui permet à l’Occitanie d’occuper le troisième rang des régions françaises où le cinéma est le plus suivi.

En 2015, les salles obscures de la région Occitanie ont accueilli, 16 950 000 spectateurs si l’on tient compte des résultats régionaux et départementaux dévoilés par le Centre National du Cinéma et de l’Image Animée (CNC).

La région où les salles de cinéma sont très fréquentées c’est la région des Pyrénées, alors que l’île de France a enregistré 53,86 millions et l’Auvergne-Rhône-Alpes, 24,68 millions. Mais au niveau national, une chute est enregistrée comparée à l’année 2014.

Les films américains préférés en partie

En 2015, 209 salles de cinéma en Occitanie ont projeté plus de 2004 films, parmi lesquels, figurent les 600 films inédits. Il faut aussi souligner que les salles de cinéma occupent une place non négligeable.

Montpellier et Toulouse en tête

Ce sont deux régions où on trouve de grandes villes, où de plus de en plus de salles de cinéma projettent des films variés. En Haute-Garonne, 5,5 millions de cinéphiles sont allés suivre des films au cinéma. Dans l’Hérault et à Montpellier, les salles de cinéma ont accueilli plus de 4 millions de téléspectateurs et enfin en Lozère, les salles de cinémas n’enregistrent que 135 558 entrées dans l’année.

Plusieurs salles assez équipées

A part les statistiques basiques concernant la fréquentation, il est important de voir le rapport des équipements. Il existe en Occitanie, 143 cinémas qui représentent un patrimoine. Dans le Gers les 16 salles de cinémas projettent des films d’art et d’essai, avec une importante partie part de marché de 35%. Normal, car dans cette région, le ticket d’entrée ne coute que 5,05 euros en moyenne. Par contre, les salles de cinéma situées dans les zones rurales bénéficient d’importantes subventions. Il s’agit de moyens nécessaires à la maintenance des salles dans les petites villes, malgré leur cout énorme à la fin.

Mais que l’on ne s’y trompe pas, ce sont tout de même les multiplexes qui drainent le plus grand nombre de spectateurs dans la région comme en France.

La planète la plus proche de la terre serait composée d’eau en partie

Plusieurs scientifiques ont essayé de réfléchir sur notre Proxima b, dont la découverte a été faite pendant cette période estivale avec des informations très fragmentaires.

Très peu d’informations fusent sur cette planète qui a été découverte pendant cette période estivale. Celle-ci se trouve à 4,2 années-lumière de la terre, en orbite autour de l’étoile la plus attenante du Soleil, Proxima du Centaure. Sa taille est plus petite que celle de la terre, avec une lumière six cent moins forte que notre planète.

Par contre, Proxima b orbite est plus proche d’elle par rapport à la terre et le soleil. Tout simplement parce qu’il lui faut 11 jours pour faire le tour sur elle-même.

Sa température serait située entre – 30 et – 50°C. Par exemple, s’il n’existait pas d’atmosphère, on aurait une température de -15°C en surface. De façon approximative, la masse de cette planète est proche de celle de la terre (x1, 3).

Grâce à ses informations très peu nombreuses, les scientifiques du laboratoire d’astrophysique de Marseille (LAM) et du département d’astronomie de l’université de Cornell, ont publié leur étude dans The Astrophyscial Journal Letters. «Nous sommes partis du fait que c’était un univers rempli de roches et pas composé de gaz», détaille Bastien Brugger, initiateur de cette étude. «Ce qui est impossible, mais il ne sera pas possible de trouver une vie sous une forme identique à celle que l’on connaît.»

Planète océan ou planète métallique?

Pour l’instant, il n’est pas possible de connaitre la composition de cette planète. Pour ce faire, « nous sommes partis de l’existant : le système solaire » ajoute le jeune scientifique.

On retrouve des deux côtés, Mercure, la planète qui est plus rapprochée du soleil et les lunes froides de Jupiter. Dans le cas de Mercure, il s’agit d’une planète composée d’un noyau en métal recouverte partiellement de roches. La seconde planète comporte des planètes océans avec en partie de l’eau liquide et glacée qui cache une forme de roche composée de fer en partie.

Quand on ajoute Proxima b le résultat donne une planète assez petite par rapport à la Terre avec un center métallique de 4500 km de rayon et une mince couche de roches silicatées de 1500 km.

Alain Juppé explique le contenu de son projet de société pour la France

Présenté comme un candidat gentil ou mou par son adversaire aux primaires, Nicolas Sarkozy, le maire de Bordeaux Alain Juppé ne souhaite pas être enterré et a indiqué qu’il assume son « identité heureuse ».

Considéré comme le favori à la primaire chez Les Républicains Alain Juppé veut utiliser ce concept comme une des orientations les plus importantes de sa campagne en plus de l’éducation et de l’économie. Le virage qu’il opère en changeant sa stratégie ne passe pas inaperçue.

Pour lui l’identité heureuse est d’abord une façon de voir l’avenir de façon évidente sans sombrer dans le pessimisme en vue d’améliorer l’homogénéité sociale en France. Il s’agit d’un projet de société dont la finalité est de permettre aux immigrés de s’intégrer dans le respect de leur diversité et sans mettre de côté leurs origines pourvu qu’ils partagent la langue, la laïcité, les valeurs de la république. Or ce concept est différent de celui défendu par M. Sarkozy qui veut complètement l’effacer. Et M. Juppé déclare qu’il n’est pas bon de «  vouloir supprimer les origines ». « L’identité française est unique, elle est née à la suite d’un combat, d’une entente avec en plus, la pluralité des racines et la cohésion d’un pays » ajoute-il.

Recevant tout le temps des attaques de la part du camp de Sarkozy, Alain Juppé a indiqué qu’il ne met pas de côté les difficultés par lesquelles, certains pays passent pour éviter que ses adversaires n’aient de la matière pour l’attaquer. « Je sais ce qu’il faut pour la France et je sais ce par quoi les français passent et comment ils vivent le chômage » a-t-il indiqué en parlant de la hausse du chômage, la dévalorisation de l’école républicaine, l’augmentation de l’insécurité ».

Améliorer les contrôles aux frontières

Très circonspect dans ses dires, Alain Juppé a déclaré qu’il apprécie l’accueil fait par la France aux migrants, il apprécie aussi le côté ferme. Il considèrent que les immigrés doivent s’intégrer pour faire partie de la société ». Mais pour atteindre ces objectifs, certaines conditions doivent avant tout être remplies comme une meilleure gestion des flux migratoires, l’établissement d’un dispositif de quotas, soumis à l’approbation d’un vote à l’assemblée qui va décider tous les ans de la capacité d’accueil de la France et une baisse de la durée d’examen des demandes d’asile ou un raffermissement des conditions de titre de séjour… d’autres conditions ont été proposées par le potentiel candidat à la présidentielle de la droite.

Le coût de la rentrée 2016 serait plus cher pour les étudiants

La Fage qui mène chaque année, une étude sur le coût de la rentrée étudiante, a évoqué une hausse de 1,01% aggravée surtout par les dépenses courantes et les loyers.

Les étudiants vont devoir faire avec, la rentrée 2016 sera plus cher que celle de l’année 2015. Rappelons que l’Unef avait déjà publié le 16 août, un rapport sur le coût de la rentrée 2016. C’est maintenant au tour de la Fage de dévoiler ses résultats.

La rentrée 2016 coûtera 1,01% de plus pour les étudiants soit 2359,85€, par rapport à la rentrée 2015, révèle l’étude qui indique aussi qu’un écart moins coûteux est noté entre la région parisienne avec 564,73 euros et la province où le coût est de 2 282,64 euros.

Cette hausse est expliquée surtout par la croissance de l’alimentation et des produits de la vie quotidienne fixée à + 3,43 % et celle des loyers établis à + 1,41%. « La hausse des loyers en Ile-de-France est réduite grâce à un encadrement des loyers dans Paris », souligne toutefois la fédération. En 2015, la première enquête affichait une réduction importante du coût de la rentrée de 6,80%, provoquée surtout par l’encadrement des frais d’agence immobilière qui occasionné une baisse moyenne de plus de 42% des coûts des prestations des agences au cours de la location d’un appartement.

Les classes moyennes accusent le coup

Quant aux frais relatifs à la sécurité sociale, à la rentrée des droits d’inscriptions et au ticket RU », la fédération a apprécié cette année, une hausse équilibrée de 0,52%.

Par contre, la Fage est préoccupée par « une fragilisation servile » des étudiants, tout en indiquant qu’un sur quatre est obligé de travailler pour s’en sortir. Toutefois, elle demande que le système de bourses actuel soit revu pour venir en aide aux étudiants qui proviennent des milieux modestes « car ils accusent le coût face au système ».

France : La présidence ne voit aucun inconvénient à la candidature de Benoit Hamon

Alors qu’elle était parodiée depuis plusieurs jours, la primaire socialiste devient de plus en plus crédible avec l’annonce de la candidature de l’ex ministre Benoît Hamon.

Dans la candidature de Benoît Hamon à la primaire socialiste, il y a une énormité notée. Plusieurs médias avaient relayée l’information en août selon laquelle, l’ex ministre allait se présenter à la primaire, une information qui pouvait susciter des craintes du côté de la présidence de la république et dans la direction du PS qui fait déjà face à une fronde au sein même des socialistes suffisante pour sortir de son sommeil, le chef de l’État.

Alors que la présidentielle est prévue dans 9 mois, plusieurs membres du PS veulent en finir avec François Hollande, car convaincus qu’ils ont la capacité de faire mieux lui en tant que candidat PS capable d’affronter la droite. D’autres préfèrent voir le parti socialiste perdre en 2017 que de voir François Hollande se faire réélire alors qu’il est en perte de vitesse.

Plusieurs justifications

Cependant, l’entourage de François Hollande n’est aucunement inquiété par la candidature annoncée de Benoît Hamon. Même le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis n’en est pas inquiété pour autant. Pourquoi ?
Premièrement parce qu’en entrant dans la course à la primaire plusieurs avant Arnaud Montebourg qui pourrait annoncer sa candidature dimanche, Benoit Hamon donne un poids conséquent à la primaire imaginée par Jean-Christophe Cambadélis afin de ne pas être confronté à plusieurs candidatures de gauche.

Au moment où le Premier secrétaire du PS a annoncé cette primaire plusieurs ont soupçonné un piège, considérant qu’il s’agit d’une primaire qui favorisera la faction pro-Hollande. Cependant, mardi soir, Benoît Hamon a indiqué qu’il faisait confiance au Premier secrétaire du parti de gauche sur lequel, il compte pour organiser une véritable primaire, claire. Ce qui fait qu’il accepte cette élection.

La seconde raison est justifiée par le fait que si l’actuel président se présente à nouveau dans la primaire, il doit tout faire pour qu’il y ait plusieurs candidats pouvant représenter un choix pour le parti. Appuyé par les sympathisants des membres du gouvernement, les frondeurs vont alors choisir plusieurs candidats. Benoît Hamon et Arnaud Montebourg sont sur la même embrasure de la gauche dure, et si les deux candidats parviennent à s’entendre sur fait d’une candidature unique le président de la République pourrait se retrouver en difficulté.

La dernière raison évoquée est telle qu’en présentant sa candidature à la primaire du parti socialiste, Benoit Hamon permettra de ramener l’idéologie de gauche, un choix également porté par Jean-Luc Mélenchon et Cécile Duflot.

Troisième ligne de métro à Toulouse : embrouille autour d’un financement

Suite à la présentant du plan de financement de la troisième ligne de métro, Tisséo a invité Blagnac et Colomiers à financer le tronçon Airbus-Colomiers gare.

Présenté le 25 juillet 2016, par Tisséo ce plan de financement pour la troisième ligne a suscité des réactions venant de Landerneau politique. Mais également les villes comme Blagnac et Colomiers, qui sont également concernées par la desserte de l’aéroport et celle de la gare.

Ce plan de financement élevé à 3,8 milliards d’euros il est prévu de financer le développement des transports en commun dans la capitale toulousaine. Ce ces fonds 2,1 milliards seront utilisés pour financer la troisième ligne de métro, un choix qui suscite des doutes. Comme la réalisation de la ligne entre la zone d’Airbus à Colomiers et la gare de la seconde ville du département et le barreau de liaison entre Jean Maga et l’aéroport, pour un coût de 110 millions d’euros.

Par ailleurs, ce nouveau projet ne fait partie du financement des 3,8 milliards d’euros d’investissement de Tisséo, car Sacha Briand, vice-président chargé des Finances à Toulouse Métropole, a souhaité ne pas inviter Tisséo dans ce dossier et de le confier au consortium Casil Europe, premier actionnaire de l’aéroport Toulouse-Blagnac.

141 millions d’euros pour Colomiers gare-Airbus

Par contre, sur le trajet Colomiers gare-Airbus, il ne sera pas facile de trouver les 141 millions d’euros indispensables pour financer le projet surtout que ce montant fait partie des 171 millions d’euros que recherche Tisséo pour le plan transports global. Or l’Autorité qui organise les transports envisage l’obtenir par l’intermédiaire des financements typiques de l’Etat » à « l’amélioration » des coûts en interne… et le financement des « autres collectivités ».

De ce fait, le Conseil départemental de Haute-Garonne, qui s’est indiqué qu’il peut injecter de l’argent, mais sous plusieurs conditions.

La couche d’ozone est en train de se réhabilité

Plusieurs observateurs avaient émis des doutes sur la vraie productivité du Protocole de Montréal qui consistait à réparer la couche d’ozone d’ici 2050.

Mais, plusieurs scientifiques indiquent que le trou d’ozone qui apparaît de façon épisodique toutes les années sur l’Antarctique disparaît progressivement au point de se refermer.

On se rappelle en 1985 quand certains chercheurs s’étaient rendu compte de l’apparition d’un trou dans la couche d’ozone sur l’Antarctique. Mais d’autres chercheurs n’en étaient pas surpris, car en 1974, des spécialistes en chimie (Frank Rowland et Mario Molina) avaient émis des inquiétudes vu qu’ils avaient réalisé que l’instrument chimique de destruction de l’ozone par la projection d’oxyde nitrique était semblable aux émissions de chlorofluorocarbones, ceux qu’on appelle actuellement CFC, qui provoquaient la fission des molécules d’O3 à travers des atomes de chlore. Les recherches menées par les des trois spécialistes ont été reconnues en 1976 par l’Académie nationale des sciences américaine entraînant l’interdiction d’utiliser des CFC comme gaz propulseur dans les aérosols en 1978. D’ailleurs certains pays tels que la Norvège, les Etats-Unis et le Canada ont interdit son utilisation.

La signature du protocole de Montréal

Cependant, la gravité du trou de la couche d’ozone montrait que l’interdiction des CFC était insuffisante et il fallait aussi interdire les hydrochlorofluorocarbones (HfCFC), comme ceux qui portent le nom commercial Fréons vendus par l’entreprise DuPont de Nemours.

Raison pour laquelle, la majorité des pays qui produisent et utilisent le CFC ont signé une charte en 1987 le protocole de Montréal et ont automatiquement lancé sur le marché des produits de substitution.